Cette brigade avait déjà été déployée pour de précédents actes, avec un passager armé d’une matraque pour frapper les manifestant à vitesse rapide. L’objectif : chercher à dissuader les Gilets Jaunes de sortir des sentiers fléchés des manifestations déposées. Cette patrouille aperçue par plusieurs manifestants, n’est pas sans rappeler les « voltigeurs », responsables de la mort de Malik Oussekine en décembre 1986. À la suite de ce drame, ce corps de police avait été dissous, pour être réhabilité dernièrement.
Les #voltigeurs. Dissous en 1986 après la mort de #MalikOussekine, reconstitués par @CCastaner. #Acte23 pic.twitter.com/tQNSXl7Huo
— Paul Vannier (@Vannier75) 20 avril 2019
Sur une vidéo impressionnante de leur déplacement à proximité de la manifestation de cet acte 23, on peut en compter 35, évoluant en escadron.
😱LA RÉPRESSION EN MARCHE😱#Acte23 #GiletsJaunes #Paris #ActeXXIII #YellowVests #Macron pic.twitter.com/OMbfUkIunR
— L’Antenne Jaune (@AntenneJaune) 20 avril 2019