Depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, les plus précarisées et opprimées constituent avec force la mobilisation. Sur les ronds-points, dans les manifestations, elles sont nombreuses à avoir revêtu le gilet haute visibilité.
Margot, étudiante à l’université de Toulouse Le Mirail, revient sur les violences faites aux femmes et l’hypocrisie des annonces gouvernementales. Et c’est cette discussion que nous proposons d’approfondir au cours des différentes conférences-débats organisées avec Andrea d’Atri, féministe argentine reconnue, à Bordeaux, Toulouse et Paris.
A l’échelle internationale, on voit que ce sont « celles qui n’ont plus rien à perdre, mais tout à gagner » qui sont au-devant des luttes !